Matthieu, révélé dans la saison 5 de Mariés au premier regard sur M6, ouvre une nouvelle page de sa vie avec sa femme, Laure. Mais cela ne l’empêche pas de continuer à prendre de gros risques professionnels dans son métier de cordiste.
Laure et Matthieu, unis grâce à l’émission Mariés au premier regard, l’émission de rencontres de la chaîne M6, filent le parfait amour et sont prêts à céder à toutes les tentations pour faire de leur vie un havre de paix. Ainsi, les deux tourtereaux ont récemment emménagé à Nancy et cherchent à présent à aménager leur nouveau cocon. Ainsi, la jeune femme a notamment souhaité apporter quelques nouveautés à la suite parentale en fermant notamment l’accès à la salle de bain, mais aussi repeindre le mur et construire une tête de lit. En guise de conclusion, ils souhaitent instaurer une décoration de qualité selon leurs goûts.
Matthieu (Mariés au premier regard) prend de gros risques pour sa famille
Par ailleurs, Matthieu a repris le travail pendant que sa femme Laure s’occupe de ses filles. Et la profession du jeune homme est on ne peut plus périlleuse puisqu’il s’agit du métier de cordiste. Ce sont les spécialistes attitrés des travaux en hauteur ou difficiles d’accès, ceux qui laissent souvent les badauds impressionnés par les risques qu’ils prennent sur les façades des immeubles. Ainsi, Matthieu a donné quelques sueurs froides à sa communauté sur Instagram en dévoilant des images de son métier pour montrer le danger qu’il vit au quotidien. Sur la toiture d’un immeuble, en train d’installer le matériel qui permettra de le suspendre avec un collègue, il explique en dévoilant la façade d’un immeuble : « Aujourd’hui, on doit faire un petit ravalement de la façade avec le traitement des fissures. »
Matthieu dévoile des images effrayantes du métier de cordiste
“Comme il n’y a pas grand-chose pour s’accrocher, on va mettre des points et on va les tester pour voir si on peut s’accrocher dessus ou pas”, poursuit Matthieu en caméra embarqué en montrant les points d’ancrage servant à l’amarrage d’un cordiste. Ces deux points d’ancrage doivent servir à utiliser deux cordes, une de travail et une de secours. Matthieu poursuit en montrant son collègue utilisé un extractomètre afin de voir si le point d’ancrage supporte un poids de minimum 500 kilos. En caméra embarquée, Matthieu commence à se suspendre dans le vide, dévoilant des images effrayantes de la distance qui le sépare du sol : “Là, on est prêts.” Une profession pour laquelle il vaut mieux avoir le cœur bien accroché !
Article écrit avec la collaboration de 6Medias