“Le repos me permettra d’oublier” : Marie-Caroline Cail (Familles nombreuses) accuse le coup après un début de pèlerinage en demi-teinte

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Malgré un entraînement avec les plus petits de la tribu, le premier jour sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle a été très compliqué pour la famille Cail. Marie-Caroline fait état d’un bilan plutôt… mitigé.

Dès le début de l’été, Marie-Caroline Cail, révélée dans la septième saison de Familles nombreuses : la vie en XXL, était déjà préoccupée par l’organisation des grandes vacances, ce qui s’avère délicat avec une tribu composée de six enfants entre 14 et 1 an. Et pour cause, la maman a révélé que sa famille partirait sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle. Et le défi ambitieux estival de ce pèlerinage vient de débuter ce dimanche 14 juillet, malgré une mère de famille “tétanisée” la veille “par “tout ce qu’il y a à faire”. Au pied de la cathédrale de Puy-en-Velay, la tribu s’est enfin équipée pour le grand départ.

Familles nombreuses : Marie-Caroline Cail embarque sa tribu pour un long pèlerinage

“Nous avons pris une grosse remorque dans laquelle nous avons rangé nos affaires. Nous laisserons tous les jours la voiture sur le point de départ et Guillaume fera son running quotidien et rebroussera chemin pour nous ramener la voiture et la remorque pour notre bivouac, explique Marie-Caroline Cail en rassurant ses abonnés Instagram sur l’entraînement préalable des plus petits de la fratrie. Première mauvaise surprise pour la maman, les plus grands ont pris “leurs chaussures pourries et trouées” pour la marche. “J’en aurais pleuré”, a-t-elle confié avant de se ressaisir.

Un début de pèlerinage mouvementé pour les Cail : “la fatigue, les disputes…”

Mais Marie-Caroline n’est pas au bout de ses surprises… Si les adolescents ont toujours une longueur d’avance, les plus petits ont bien du mal à suivre le rythme effréné du pèlerinage. En fin de journée, la tribu s’arrête enfin pour camper grâce au matériel rapatrié par le courageux papa. La mère de famille profite alors d’un moment de calme pour faire le bilan de ce premier jour : “14 kilomètres plus tard, je file me coucher. Le repos me permettra d’oublier le réveil à la bourre de ce matin, notre débarquement bruyant au milieu de la messe, la fatigue, les multiples disputes des enfants, les gros mots, les mille ‘t’es plus mon copain-frère’, les mille bobos, les mille ‘c’est quand qu’on s’arrête’, les mille ‘il a pris touuuuute l’eau’ et la casserole qui s’est renversée dans l’herbe. Voilà”. Ça promet pour la suite de l’aventure !

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