“La distance qui crée l’éloignement…”, Raphaël (Mariés au premier regard) loin d’Ophélie, il délivre un message

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En couple avec Ophélie, Raphaël doit gérer la séparation avec sa belle depuis que celle-ci s’est envolée pour l’Australie. Le candidat de Mariés au premier regard a ressenti le besoin de déclarer sa flamme, le 25 juillet 2024 sur Instagram.

Capture d’écran Mariés au premier regard / M6

À peine en couple, Ophélie et Raphaël doivent gérer leur première épreuve. Avant de rencontrer son beau brun, l’ex-épouse de Loïc avait planifié un voyage en Australie avec sa cousine pour respirer un autre air. Et même si elle est tombée amoureuse entre temps, la bardoudeuse n’a pas renoncé à son projet, et s’est envolée, le 23 juillet 2024, vers le pays des koalas. “La séparation ne sera clairement pas facile. Mais je pense justement que c’est une bonne expérience à faire en début de couple. Si on y arrive en étant à l’autre bout du monde, rien ne pourra nous arrêter par la suite !”, avait-elle répondu à l’un de ses abonnés Instagram, juste avant son départ.

Raphaël adresse un tendre message à sa compagne sur Instagram

Retenu par ses obligations professionnelles, Raphaël n’a pu accompagner sa belle et s’est contenté d’un au revoir déchirant. À des milliers de kilomètres d’elle, l’entrepreneur suit ses galères de voyage, ne manquant pas une occasion de lui adresser une tendre pensée. Ce jeudi 25 juillet 2024, il s’est emparé des réseaux sociaux pour poster un cliché d’eux dans les bras l’un de l’autre et lui faire la plus belle des promesses. “Ce n’est pas la distance qui crée l’éloignement, c’est le silence. Je t’attendrai”, est-il écrit en légende de cette adorable photo. Cette attention a touché la concernée. “Tu veux me faire pleurer ?”, a-t-elle lancé dans les commentaires.

“Ophé la poisse” enchaîne les galères de voyage

Ophélie a une autre bonne raison de verser quelques larmes. Son vol à l’autre bout du monde s’est transformé en périple épique, la faute à un enchaînement de galères. Elle s’est en effet retrouvée “bloquée” en Inde, faute de billet, avant une nouvelle et longue escale à Kuala-Lumpur (Malaisie). “C’est le retour d’Ophé la poisse”, se désespérait-elle sur Instagram, impatiente d’atterrir à Brisbane. Quelques jours de transport plus tard, la “Dora l’exploratrice pour les intimes” (sa bio Instagram) voit la lumière au bout du tunnel et peut entamer son séjour initiatique.

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