Alors que le château de Dammarie-lès-Lys a été complètement transformé pour accueillir la nouvelle promotion de la Star Academy 2024, Valérie Damidot se rappelle avec humour de son expérience en tant que nounou lors de la toute première saison. Ambiance glaciale, rats dans les dépendances… les conditions étaient loin d’être aussi confortables qu’aujourd’hui.
Le château de Dammarie-lès-Lys a fait peau neuve pour cette douzième saison de la Star Academy. Après la victoire de Pierre Garnier, le célèbre château ouvre à nouveau ses portes pour accueillir 15 élèves âgés de 18 à 24 ans, issus de France, de Belgique et de Suisse. Et c’est dans un décor complètement revu qu’ils vivront leur aventure ! Parmi les nouveautés de la grande demeure : une nouvelle pièce, appelée “le foyer”, où les élèves peuvent désormais se détendre ou répéter mais surtout une décoration complètement différente.
Des nouvelles couleurs, associées à un parti pris graphique avec des hachures, marqueront chaque pièce. Cuisine en bleu-violet, salon aux accents de vert et bleu, chambre des filles en rose et violet, tandis que celle des garçons est habillée d’orange et rouge. “C’est un choix visuel fort”, souligne l’architecte d’intérieur en charge de la redécoration, Joséphine Gad. Et si le château est des plus chaleureux maintenant, ça n’a pas toujours été le cas…
“Des rats et des armures” : Valérie Damidot raconte les débuts du château de la Star Academy
Alors que cette nouvelle version du château brille par ses couleurs vives et son confort moderne, pour France Bleu, Valérie Damidot, elle, se souvient d’une époque bien différente. Ancienne “nounou” des élèves de la saison 1, dans laquelle Jenifer, Mario, Olivia ou encore Jessica s’étaient illustrés, l’animatrice a vécu les premières heures du château dans des conditions pour le moins… rustiques. “Quand on a récupéré le château, il y avait les coursives pour les caméras avec un faux décor, mais la déco à l’intérieur, c’était à l’ancienne. Il y avait des armures !”, se remémore-t-elle avec amusement.
Mais c’est surtout l’état des lieux qui l’a marquée. “On avait les bâtiments de prod dans les vieilles dépendances du château. Il y avait des rats, c’était le bordel…“, raconte-t-elle sans détours. Le confort n’était clairement pas au rendez-vous, que ce soit pour l’équipe de production ou pour les candidats : “Quand je dormais là-bas, c’était un enfer. Les couloirs, où il y avait les salles de montage, on crevait de froid ! Et les gamins crevaient de chaud dans le château. J’ai le souvenir des monteurs en doudounes !” Une époque heureusement bien révolue.