Certains l’ignorent mais Lucie Bernardoni a un autre métier en plus de ses casquettes de chanteuse, pianiste et répétitrice à la Star Academy. Dans un entretien dévoilé ce mercredi 6 mars, la musicienne a évoqué son entreprise et les difficultés qu’elle a rencontrées pour la monter.
Elle regorge de facettes. Lucie Bernardoni est le couteau-suisse de la Star Academy, télé-crochet à l’issue duquel elle finit finaliste, en 2004, face à Grégory Lemarchal. Depuis deux ans, l’ancienne élève endosse le rôle de répétitrice auprès d’une nouvelle génération d’artistes en herbe. Récemment, la chanteuse de 37 ans a intégré l’équipe artistique de la tournée de la promotion 2023, qui commence ce samedi 9 mars. “C’est une continuité de l’apprentissage effectué durant plus de 3 mois avec toutes les équipes”, s’est-elle réjouie sur ses réseaux sociaux. En plus de ses activités de musicienne, la complice de Marlène Schaff s’adonne à une autre activité très chronophage.
Lucie Bernardoni, chanteuse, pianiste et répétitrice : quel est son autre métier loin de la scène ?
Ces quatre dernières années, Lucie Bernardoni a consacré une bonne partie de son temps à l’essor de de sa marque, qui s’avère être un box-magazine aux inspirations rétros. La créatrice vit cette aventure professionnelle avec sa sœur Magali et a accepté d’en parler dans le centième numéro de J’entreprends, un format vidéo de VL Médias. Tout au long de l’entretien mené par Anthony Vitorino, la fondatrice rappelle à quel point il est difficile de concrétiser un tel projet. “Au départ, on ne peut pas engager, il faut dire la vérité. Les conditions financières d’une création d’une entreprise, en France, il ne faut pas avoir de rêver grand, par contre il faut démarrer petit pour pouvoir rêver grand”, nuance la trentenaire qui a – littéralement – jonglé entre les casquettes. “On est tout à la fois, on est le comptable, le créateur, le technicien… C’est parfois fatigant mais par contre c’est passionnant”, concède-t-elle.
Lucie Bernardoni évoque “les sacrifices” lors de la création de son entreprise
Animée et guidée par ses ambitions d’entrepreneur, Lucie Bernardoni a toutefois songé à renoncer plusieurs étapes du processus. “[Il y a avait] des nuits où je n’en pouvais plus, [je me disais qu’]on ne va pas y arriver. (…) Ça implique énormément de sacrifices, des amis autour qui te soutiennent, la famille [qui voit] que tu n’as plus le temps pour rien, à part ça, parce que tu t’es tellement battue que tu dois aller au bout”, constate la pianiste contrainte de mettre son site en berne ces prochaines semaines au vu de son planning déjà très chargé.