Régulièrement questionnée sur son organisation entre ses cinq enfants et l’exploitation agricole de son mari, Aïda Hammerli explique en détail les raisons qui les poussent à louer un autre chalet.
Aïda Hammerli, maman emblématique de l’émission Familles nombreuses, la vie en XXL, a annoncé son départ du programme en février dernier. Elle et son mari Émile, parents de cinq enfants, vivent une vie paisible dans les Alpes suisses. Malgré son absence de l’émission, Aïda continue de partager son quotidien sur les réseaux sociaux, évoquant souvent le travail de son mari agriculteur et l’organisation de leur foyer. Elle a récemment confié sur Instagram que leur vie quotidienne est bien organisée autour du travail d’Émile. Elle s’occupe de la maison, des enfants, des papiers et des rendez-vous, tandis qu’Émile gère l’exploitation agricole.
Aïda Hammerli aborde les revenus irréguliers de son foyer
Fréquemment questionnée sur son organisation, Aïda Hammerli a mentionné qu’elle aide parfois Émile dans ses tâches. Bien qu’elle assure le bon fonctionnement du foyer, le couple s’entraide beaucoup, ce qui permet de maintenir un équilibre dans leur vie familiale. Le 24 juin dernier, l’ancienne participante du programme de TF1 a abordé un sujet qui intéresse grandement ses abonnés : les revenus de son foyer. “Pour le budget, on n’en a pas”, a-t-elle confié avant de s’expliquer plus en détail. “C’est très difficile d’en prévoir un pour les dépenses privées parce que notre revenu n’est jamais le même. On a énormément de frais variables donc on s’arrange toujours pour faire au mieux, ne manquer de rien et ne pas trop dépenser.”
Aïda Hammerli (Familles nombreuses) : “On a une vingtaine d’hectares de pré à faucher”
Ce mercredi 3 juillet, Aïda répond à une énième question sur leur travail à la ferme. “Émile a fait trois ans d’apprentissage agricole sur diverses exploitations. Il a ensuite obtenu son certificat”, a-t-elle débuté. À ce jour, le couple s’occupe de la petite exploitation de vaches laitières rachetée au père d’Émile. “Depuis 2015, on a une exploitation certifiée biologique. Ça demande une présence quotidienne puisqu’il faut les traire chaque soir et chaque matin. Je travaille avec lui depuis 2010, il m’a tout appris ! Mais avec l’arrivée des enfants, je suis beaucoup moins présente. Émile assume à lui tout seul toute la charge de travail. On a une vingtaine d’hectares de pré à faucher. Ça suffit tout juste à pouvoir nourrir nos animaux durant l’hiver. C’est pour cela qu’on est obligé de louer un chalet d’alpage. On y va pendant la belle saison, de mai à octobre. C’est idéal pour faire paître les bêtes et qu’elles puissent se nourrir d’elles-mêmes.”