Quand Marlène Schaff a quelque chose à dire, elle ne passe pas par quatre chemins. Invitée du podcast Absolument fabuleuses, animé par la drag queen Paloma et la journaliste Élodie Petit, la répétitrice de la Star Academy a passé un coup de gueule au sujet de son rôle dans l’émission.
Marlène Schaff a toujours rêvé de vivre de sa passion pour la musique. En 2013, la répétitrice officielle de la Star Academy participait à The Voice non pas en tant que coach, mais en tant qu’élève. Une expérience qui aura servi de tremplin à la professeure, puisque neuf ans plus tard, elle intégrait le château de Dammarie-lès-Lys pour accompagner des jeunes talents dans leur rêve de gloire. “La Star Ac m’appelle et à ce moment-là, j’ai une comédie musicale qui me propose le rôle principal, j’ai The Voice qui me rappelle et qui me dit qu’ils aimeraient bien que je revienne sur les adultes”, avait-elle confié à Alix Grousset.
En 2022, elle endosse ainsi le rôle de répétitrice aux côtés de Lucie Bernardoni. La saison suivante, Marlène monte en grade et obtient le poste de professeure d’expression scénique. Un rôle exigeant, mais ô combien passionnant pour cette mordue de musique. Grâce à elle, Anisha, Pierre Garnier et Marine ont réussi à faire de leur passion un métier grâce à ses précieux conseils.
Marlène Schaff réduite au rôle de “répétitrice” : pourquoi la professeure de la Star Academy n’aime pas cette appellation ?
Ce vendredi 6 juin, Marlène Schaff était l’invitée de Paloma, ancienne gagnante de Drag Race France et la journaliste Élodie Petit, pour une interview confidences dans le cadre du podcast Absolument fabuleuses. Interrogée sur son rôle dans la Star Academy, celle qui a succédé à Jasmine Roy ou encore Matthieu Gonet a expliqué être contrariée par le titre qui lui est associé. “Ça a toujours été quelque chose d’assez… Ça me contrarie un peu”, a-t-elle confié dans un premier temps. Et d’ajouter toute juste après : “Déjà premièrement, le titre répétiteur est tellement réducteur par rapport au travail que l’on fait. Les gens n’ont vraiment pas conscience du travail que c’est de préparer des artistes amateurs (…) On doit, en quatre jours, les préparer pour chanter en direct sur un prime. Mais il y a tellement de choses que les gens ne voient pas. En saison 2, j’ai fait ce que l’on appelle des prises de tonalités, 250. Ça veut dire, 250 morceaux qu’on me donne, que j’écoute que j’apprends, que je joue au piano (…) et que je dois jouer dans la tonalité de la personne (…)”, explique-t-elle.
L’année dernière, Marlène Schaff a eu la chance d’endosser un nouveau rôle : celui de professeure d’expression scénique. Une nouvelle corde à l’arc déjà bien chargé de la jeune femme. “Quand je passe à ce rôle, ça me contrarie qu’on me dise que j’ai eu une promotion, car dans l’esprit des gens, répétiteur, c’est moins bien. Ça m’a contrarié parce que je me suis dit que les compétences nécessaires pour être répétiteur ne devraient pas être sous-estimées, c’est un travail énorme, qui n’est pas moindre de ceux qui ont le titre de prof”, a-t-elle conclu. Le message est passé.
