Après une aventure sentimentale qui n’avait pas abouti dans l’émission, Anaïs, l’éleveuse de chèvre de la saison 18, a trouvé l’amour en dehors des caméras. Aujourd’hui, la bergère s’apprête à vivre l’un des plus beaux moments de sa vie : devenir maman.
Lors de la saison 18 de L’amour est dans le pré, Anaïs, 35 ans, fabricante de fromage de chèvre et éleveuse de brebis en Nouvelle-Aquitaine, avait séduit les téléspectateurs par son franc-parler et sa sensibilité. On l’avait quittée dans les bras de Thomas, un placide informaticien suisse, au lendemain d’une nuit d’amour prometteuse. Pourtant, au bilan, c’est seule qu’elle s’était présentée devant Karine Le Marchand. “Ça a duré plus d’un mois après la fin du tournage, il avait beaucoup de qualités, il était très câlin, gentil… Mais plus on discutait, moins on se comprenait”, avait-elle confié. La romance s’était ainsi achevée en douceur, mais non sans déception pour Anaïs, venue chercher l’âme sœur.
Anaïs amoureuse d’Emmanuel : le couple s’apprête à accueillir un petit garçon !
Deux ans plus tard, la bergère a tourné la page… et trouvé chaussure à son pied. C’est via des amis communs qu’elle a rencontré Emmanuel, alias Manu, 38 ans, professeur de technologie, bricoleur et amateur de treks en montagne. “On a bien accroché”, résume Anaïs. Manu, lui, ne tarit pas d’éloges : “Ce qui me séduit chez Anaïs… J’aime bien sa volonté de toujours bien faire. Et puis elle dit les choses, ça m’a beaucoup plu. Moi qui suis très introverti, j’apprécie de savoir si ça va ou pas. Et puis elle est mignonne, faut pas oublier !” Chez son compagnon, Anaïs avoue qu’elle apprécie “son côté calme, rassurant, toujours optimiste… très agréable pour moi qui suis toujours tendue.”
Et la grande nouvelle est tombée : le couple attend un petit garçon. Une joie immense pour Anaïs, qui s’apprête à devenir maman. Les amoureux nourrissent aussi de beaux projets pour l’avenir. “L’idéal, ce serait de pouvoir faire ce que je fais là mais à la montagne, d’avoir un bâtiment en alpage et que toi tu puisses t’orienter vers la rando, emmener des gens, faire un peu d’hébergement atypique, des repas, des fondues au fromage de chèvre… Moi ça me fait rêver ça !” explique Anaïs. Un rêve qu’ils espèrent concrétiser d’ici trois ans. De la plaine à l’alpage, de la solitude à la maternité, Anaïs écrit aujourd’hui un nouveau chapitre… et celui-ci s’annonce particulièrement heureux.