Dans l’épisode de amilles nombreuses : la vie en XXL diffusé ce mercredi 19 mars sur TF1, Anaïs et Maxime Ballot ont rendu un bel hommage à Victor, leur enfant décédé à la naissance. Une disparition qui n’a pas été une épreuve pour leur fils aîné, âgé de six ans à l’époque.
Parmi les nouvelles tribus de Familles nombreuses : la vie en XXL sur TF1, les Ballot ont su toucher les téléspectateurs avec leur touchante histoire. Anaïs et Maxime sont parents de cinq enfants : Luka âgé de 13 ans, Cléa qui a 5 ans et les triplés Marceau, Marcus et Gabin qui fêteront bientôt leurs 4 ans. Un clan dont le petit Victor aurait dû faire partie. “On a un sixième enfant qui est décédé la veille de l’accouchement”, a révélé la maman sur le décès de son fils malgré “une grossesse normale”. Depuis, les Ballot ne manquent jamais l’occasion de rendre hommage à ce garçon parti trop tôt. Dans l’épisode inédit de Familles nombreuses de ce mercredi 19 mars, la famille au complet a respecté une tradition chère au cœur des parents pour honorer la mémoire de leur sixième enfant.
Anaïs et Maxime Ballot (Familles nombreuses) rendent hommage à Victor, leur fils décédé à la naissance
En mémoire de leur petit ange, les Ballot se rassemblent tous les ans auprès de Victor pour un lâcher de ballons. “On écrit un petit mot dessus et on les laisse partir au ciel, en espérant qu’il ait nos messages”, a expliqué Anaïs Ballot à propos de cette tradition. “C’est aussi notre façon de prononcer son petit prénom, faire en sorte qu’il ne tombe pas dans l’oubli. On a six enfants et ce jour-là, on peut le crier haut et fort”, a-t-elle confié avant de se féliciter pour cet hommage : “Malgré le sujet triste, ça reste un peu féerique ce lâcher de ballons. On aime bien cette idée que quelque chose part vers lui.”
Anaïs Ballot (Familles nombreuses) évoque sur la réaction de son fils aîné à la mort de Victor
La disparition de Victor a été un drame dans la famille Ballot, notamment pour leur fils aîné qui était en âge de comprendre la situation. “Luka avait déjà plus de six ans quand c’est arrivé donc il avait largement la maturité et la conscience de savoir le grand malheur qui s’abattait sur nous”, a rapporté la Anaïs Ballot. “Je ne savais pas s’il fallait dire qu’il faisait dodo pour toujours ou qu’il était parti au ciel… Et du coup, c’est le psy du CHU qui nous a dit clairement : ‘Vous devez employer clairement le mot que son petit frère est mort’, donc ce mot fait partie de notre vocabulaire, on a un bébé qui est mort”, a-t-elle partagé le conseil qu’elle a appliqué pour parler de cette tragédie à ses autres enfants. Un sujet que les parents ne veulent pas rendre “tabou”.