Cette année dans L’amour est dans le pré, le public a fait la connaissance de Gilles, attachant agriculteur à la retraite mais toujours très actif. Dans les derniers épisodes, on l’avait laissé en train d’entamer une jolie idylle avec sa prétendante Marie, au détriment d’Isabelle. Malheureusement, leur histoire n’aura pas duré comme on l’apprend dans la seconde partie du bilan, déjà disponible sur M6+.
En effet, c’est seul que Gilou se présente face à Karine Le Marchand pour expliquer qu’il a mis fin à sa relation avec la pétillante sudiste. La raison : les 850 kilomètres qui les séparent et qu’il ne supportait pas. En interview pour Purepeople.com, Gilles a accepté de se confier sur son aventure riche en rebondissements et sur sa rupture avec Marie.
Vous avez vécu une terrible épreuve il y a un peu plus d’un an, la perte de votre femme Françoise. Pensiez-vous pouvoir retomber amoureux par la suite ?
Oui, je n’ai jamais douté. J’ai eu quelques relations avant L’amour est dans le pré et puis il y a eu cette opportunité.
Comment s’est passée la vie à trois avec Isabelle et Marie ?
Il n’y a pas eu du tout de rivalité, ça s’est très bien passé.
On vous a d’abord vu proche d’Isabelle, avec qui vous avez échangé un premier bisou. Et puis c’est finalement vers Marie que vous vous êtes tourné. Qu’est-ce qui a changé sur le tournage ?
J’avais eu la lettre d’Isabelle, très attachante, et j’avais demandé à voir des photos aussi et puis quand elle est arrivée chez moi, je me suis aperçue qu’Isabelle n’était pas forcément évidente. Elle avait du caractère, elle voulait s’imposer etc. Je me suis dit que je me sentais mieux avec Marie, elle correspondait plus à la femme que je recherchais. On a fait une sortie avec Marie, ça s’était bien passé, j’ai vu qu’elle communiquait bien et qu’on allait mieux ensemble et c’est là que j’ai eu un petit déclic pour elle. Le lendemain, je partais avec Isabelle au spa et j’étais déjà plus distant. Dans ma tête, j’avais déjà fait mon choix.
Etes-vous encore en contact avec Isabelle ?
Oui on s’appelle parfois, et elle m’a déjà dit que si je venais du côté de Reims, la porte était ouverte, qu’elle me recevrait. On est restés en bons termes.
Vous avez choisi Marie et tout semblait bien se passer jusqu’à son départ. La distance ne vous a finalement pas réussi… Que s’est-il passé ?
Quand je suis allé chez elle, je me suis aperçu que ça allait être vraiment compliqué. Quand je suis revenu, je me suis demandé dans quoi je m’engageais.
Vous êtes tous les deux à la retraite, pourquoi aucun de vous n’était prêt à aller vivre chez l’un ou l’autre ?
Elle ne voulait pas, elle avait sa maison, ses petits-enfants, sa famille, ses activités, ses habitudes etc… Et moi non plus. Donc j’ai dit : ‘on arrête tout’. Moi je ne peux pas gérer une relation à cette distance là. Elle m’a proposé de faire un mois chez l’un ou l’autre mais moi je ne peux pas faire ça, j’ai encore des animaux et puis je ne voulais pas habiter là-bas, ça ne me convient pas. Il y a le problème du vent et puis les moustiques, c’était l’horreur. Faut être habitué. Et la distance, on perdait trop de temps… et puis les frais !
En la sélectionnant, vous saviez pourtant qu’elle habitait loin de vous.
Oui mais je me suis dit que j’allais quand même essayer et qu’on verrait et puis je me suis rendu compte que j’avais fait une grosse erreur.
Combien de temps a duré votre relation ?
Elle est restée chez moi quatre jours de plus à la ferme. Après, je suis descendu chez elle quinze jours ou trois semaines après, et puis je me suis dit que c’était l’enfer. Et je suis redescendu une autre fois pour lui dire que j’arrêtais. La rupture a été filmée mais je l’avais prévenue au téléphone avant, je lui avait dit que ce n’était pas ce que je recherchais. Je me suis imposé, elle n’a pas eu trop de choix. Donc on a dit stop et la vie continue chacun de notre côté.
Depuis, où en est votre situation sentimentale ?
J’ai eu des appels téléphoniques mais pas de courriers. Je sors, je fais des rencontres mais sans plus pour l’instant. Je ne cherche pas, je me dis que je vais bientôt trouver, sans chercher.