“Et puis, les plans ont changé” : Marie-Caroline Cail (Familles nombreuses) perturbe son pèlerinage prévu en pleine nature

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Marie-Caroline et Guillaume Cail se sont lancés dans un projet ambitieux en famille. Malgré un mauvais départ, la tribu poursuit son aventure qui leur a permis de faire une rencontre inattendue.

La tribu Cail, révélée dans la septième saison de Familles nombreuses : la vie en XXL, a captivé l’attention du public en partageant leur quotidien hors du commun dans le célèbre docu-réalité de TF1. Lorsqu’ils ne sont pas à l’écran, Marie-Caroline, son mari Guillaume et leurs six enfants publient leurs aventures sur les réseaux sociaux. Pour ces vacances d’été, les époux Cail se sont lancés un défi de taille : partir sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle à pied et en famille. Cependant, ils ont rapidement réalisé que la tâche serait plus difficile que prévu. Bien que Marie-Caroline Cail et son mari Guillaume aient initié leurs enfants à l’exercice, ils ont constaté que le rythme était très lent à cause des plus petits.

Un pèlerinage qui commence mal pour les Cail !

Le pèlerinage ambitieux a commencé le 14 juillet, malgré une Marie-Caroline “tétanisée” la veille par l’ampleur des préparatifs. La famille a débuté son aventure au pied de la cathédrale du Puy-en-Velay, bien équipée pour le grand départ. Leurs affaires sont rangées dans une grosse remorque que Guillaume récupère en rebroussant chemin en courant. Après avoir parcouru 14 km, la famille s’est arrêtée pour camper. Marie-Caroline a fait un bilan de cette première journée difficile : réveil en retard, fatigue, disputes chez les enfants, bobos et autres petits incidents. “Le repos me permettra d’oublier”, avait-elle espéré.

Familles nombreuses : la famille Cail s’écarte de son objectif après une rencontre inattendue

Ce mercredi 17 juillet, la mère de famille fait de nouveau un bilan de leur circuit après une nouvelle nuit de sommeil : “J’ai pris la route avec les enfants direction Saugues pour le déjeuner. Il y a environ 8 km. Nous voici arrêtés au premier point d’eau pour recharger les gourdes”. Marie-Caroline Cail est ravie puisque les enfants ont “très bien marché” jusqu’à leur point de chute qui leur a permis de faire quelques emplettes pour un pique-nique familial. “Et puis, les plans ont changé”, a-t-elle indiqué. “On décide d’aller rejoindre à 5 km Guillaume, un éleveur de brebis qui nous propose un terrain pour planter nos tentes. On s’écarte des chemins pour faire une belle rencontre”.

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