Ce mardi 16 juillet, Laëtitia Provenchère s’est donnée pour mission de faire passer un cap important à son aîné. Pour cela, elle compte bien lui consacrer du temps pendant les grandes vacances d’été.
La fin de la période scolaire a été plus que mouvementée pour Laëtitia Provenchère. La maman solo a enchaîné les mésaventures durant tout le mois de juin. Entre Ragnarök, le chat adoré de la famille, qui a été gravement blessé, Noëlya, qui s’est plainte de douleurs à la gencive à tel point que sa maman l’a emmenée en urgence chez le dentiste, et la déception de Laëtitia en apprenant que les triplées allaient être séparées à la rentrée, rien ne va plus chez les Provenchère, qui ont déjà surmonté bien des épreuves. En 2020, alors qu’elle était déjà maman d’un petit garçon et enceinte de triplées, Laëtitia Provenchère a tragiquement perdu son mari, Guillaume, décédé dans un accident de travail. Le 5 juillet dernier, Laëtitia, qui a célébré l’anniversaire de son fils aîné, Nolann, lui a d’ailleurs exprimé sa gratitude pour le rôle qu’il tient dans sa vie.
La mission de l’été pour Laëtitia Provenchère et son fils
Fort heureusement, le mois de juin et ses péripéties ne sont plus qu’un lointain souvenir pour Laëtitia et ses quatre jeunes enfants. La veuve de Guillaume va pouvoir enfin se détendre pendant les grandes vacances. À ce propos, la mère de famille a une idée en tête concernant son aîné, qu’elle ne veut absolument pas laisser de côté. “Mission des vacances : essayer d’apprendre à Nolann à faire du vélo, mais surtout qu’il prenne confiance… en lui”. Sur la vidéo partagée en story, le jeune garçon tente de faire quelques mètres en laissant les pieds sur les pédales, mais il lui manque effectivement un peu d’aisance et d’entraînement.
Comment Laëtitia a annoncé à Nolann la mort de son papa ?
En 2022, dans un podcast baptisé “Parents Héros”, Laëtitia Provenchère avait raconté comment elle a annoncé la mort de Guillaume à Nolann, alors qu’il n’était âgé que de deux ans. Avec l’aide d’une psychologue, la maman a su trouver les mots justes pour expliquer la situation à son jeune fils, en insistant sur l’importance d’utiliser des termes clairs et compréhensibles. “Sur le fait qu’il faut expliquer les choses, évidemment, je lui ai expliqué l’accident, l’hospitalisation, son décès et employé des mots qu’un petit garçon de deux ans est capable de comprendre“, avait-elle déclaré, en précisant qu’elle avait employé à bon escient le mot “mort” pour que Nolann comprenne bien la situation.