Delphine Colas est toujours aussi mitigée concernant sa ville d’origine. La mère de famille explique ce qui ne lui plaît pas lorsqu’elle se balade dans la ville, sans oublier les côtés positifs.
Les Colas, anciens participants de Familles nombreuses : la vie en XXL, continuent de partager leur quotidien sur Instagram après avoir quitté le docu-réalité de TF1. Le week-end dernier, la tribu a fait une escapade en montagne pour un pique-nique. Mais pour les vacances d’été, Delphine Colas envisage un voyage en Scandinavie dans le but de découvrir de nouvelles cultures. Elle a organisé une visioconférence avec une famille suédoise pour un futur échange de maison qui leur permettra de découvrir le sud de la Suède et Copenhague. Malheureusement, quelques jours avant les grandes vacances d’été, la mère de famille a raconté qu’une tempête avait ravagé leur jardin, détruisant les plantes autour de la piscine. Le 4 juillet dernier, Delphine Colas a partagé un nouveau problème concernant sa maison : le carrelage de la piscine qui cause des soucis d’entretien.
Delphine Colas explique ce qu’elle ne supporte pas à Grenoble
Originaire d’Isère, Delphine Colas s’est installée avec son clan dans une maison de famille “implantée dans un écrin de nature”, comme elle aime le préciser. Ce lundi 8 juillet, la maman de 40 ans s’est rendue en ville. “Je suis née à Grenoble. Ville que j’aime et déteste à la fois !”, a-t-elle indiqué en story Instagram. Une réflexion qui a vivement fait réagir dans ses messages privés. Alors, Delphine a pris quelques minutes pour s’expliquer : “J’ai passé toute mon adolescence dans cette ville. Ensuite, je suis partie à 23 ans vivre à Barcelone. Souvent, j’avais l’impression d’étouffer à Grenoble. Je trouve que c’est une ville qui n’a pas beaucoup de perspectives, il y a peu d’opportunités au final dans cette ville”.
Delphine Colas (Familles nombreuses) : “La peur qu’on a dans le centre-ville en soirée”
Puis de poursuivre : “Pour moi qui n’ai pas grandi dans une culture montagne et nature, j’avais le sentiment de ne pas savoir quoi faire le week-end, d’être un peu prise au piège dans cette ville. J’adore toute la nature autour de Grenoble, on a des paysages magnifiques et c’est une des plus belles régions du monde. Ce que je n’aime pas, c’est le manque de commerces, de restaurants, de bars et de lieux culturels”. Delphine Colas conclut en faisant part du point le plus négatif de la ville selon elle : “La peur qu’on a dans le centre-ville en soirée. Je flippe de récupérer ma voiture dans un parking après un resto entre copines parce qu’on a une chance sur deux de se faire agresser ! C’est cette partie-là que je n’aime pas”.